Chat GPT versus bilan carbone

La communauté numérique alarme : l’empreinte carbone explose avec l’IA… On apprend que « les réseaux 5G sont 10 fois moins consommateurs en électricité » mais cela dépend des infrastructures et c’est sans compter sur l’augmentation des usages.

L’engouement avec ChatGPT ne va pas changer la donne… » le fait de simplement poser 25 à 50 questions à ChatGPT nécessite un demi-litre d’eau. »

L’article de Futura Sciences est glaçant, sans jeu de mots.

CONCORDANCE CONSEIL loire valeurs

Chat GPT… à suivre !

en mars, certains se montraient bien confiants sur les usages de ChatGPT et sur son impact dans le milieu professionnel…

un article de EMARKETING abordait le sujet

dans l’éducation, il révolutionne déjà un peu les apprentissages, pour ceux qui ne savent pas l’utiliser comme un outil …  à suivre donc !

CONCORDANCE CONSEIL visuel clavier CC

nouveaux algorithmes sur Meta

Depuis février 2023, Meta ne proposera plus l’option qui permettait de cibler les adolescents en fonction de leur sexe et les annonceurs ne pourront bientôt plus cibler les utilisateurs de moins de 18 ans en fonction de leur activité sur Instagram et Facebook.

Affaire à suivre sur Instagram et Facebook… sachant que nos ados sont plus sur TikTok que sur FB !

pourquoi le story telling fonctionne ?

Suite à un sondage proposé autour de la publication d’un reportage en boulangerie, pour un client minotier, j’ai proposé deux lectures : une très factuelle en mode « étude de cas », l’autre plus rédigée en mode « story-telling ». Honnêtement, les retours ont été étonnamment très équilibrés. Le retour à froid de mes sondés amènent un peu de compréhension quant au ressenti lié à un format narratif pour mettre en avant un projet :

« Alors, pourquoi la version story-telling ? Parce que tout au long du récit j’ai la sensation de partager un morceau de réalité du métier de boulanger, je ressens les émotions, la passion… Dans l’autre récit je me sens spectatrice et donc complètement à distance. C’est factuel. L’information est la même mais grâce au story-telling, je me sens plus proche de ce boulanger. »… Merci ! … CQFD !

Le beau métier de la boulangerie et de son minotier – version étude de cas

La boulangerie, c’est un beau métier. Faire du pain, qu’il soit classique avec les baguettes ou que la recette soit plus élaborée avec les pains spéciaux ou les brioches, on retrouve toujours le savoir-faire et l’envie de proposer le meilleur produit aux clients de la boutique.

De manière très traditionnelle (sans jeu de mot !), le boulanger est au fournil quand la boulangère est en magasin. C’est un métier de couple, un travail de binôme.

Et il en faut de la rigueur et de la passion pour tenir ainsi une boulangerie.

A travers une tournée en Loire-Atlantique avec un des commerciaux d’un minotier mayennais, j’ai pu découvrir (encore mieux !) le quotidien de la boulangerie-pâtisserie.

Les témoignages se recoupent :

  • Le boulanger attend beaucoup de son minotier: la régularité du produit (la farine n’est pas tout à fait la même d’une récolte à l’autre), le rapport qualité/prix, le conseil sur les recettes, et bien entendu l’accompagnement sur la gestion de l’entreprise, le retour d’expériences des autres boulangeries suivies par le minotier, et la communication (PLV, lancement d’un produit, animation, etc.)
  • Le savoir-faire de l’artisan tourne autour des produits « maison », d’une large gamme qui va souvent jusqu’à la sandwicherie/traiteur, la nécessité de jouer sur le bouche-à-oreille car c’est souvent le client satisfait qui amène d’autres clients !
  • « On fait gouter le client, il achète et après il revient. »

  • La gestion d’une équipe avec des apprentis, des vendeuses, avec des horaires différents, des motivations différentes aussi, ce n’est pas une mince affaire.
  • Le boulanger a plusieurs « casquettes » : savoir-faire de l’artisan, savoir-vendre en boutique, savoir-gérer l’équipe en production ou en vente et bien sûr savoir-compter ! Tous n’y arrivent pas facilement.
    • Savoir faire : Être boulanger, c’est être à l’écoute des matières premières avec lesquelles on travaille. La météo fait évoluer la farine, selon l’hygrométrie, le stockage des sacs (en intérieur ou à l’extérieur), la durée de stockage (une farine se modifie pendant le stockage et ne va pas réagir de la même manière une fois livrée que trois semaines après la livraison !).
    • Savoir vendre : un boulanger rencontré avait mis en place une caméra dans l’atelier, reliée à la boutique. Ainsi, il gérait à distance le présentoir de pains ; il pouvait aussi savoir ce qui partait et la tendance de la journée, l’heure d’arrivée des premiers clients sandwicherie, etc.
    • Savoir gérer : Un métier où les heures ne sont pas comptées :
    • « Je démarre à 22h-24h parce que sinon, je ne peux pas tout préparer. Entre 7h et 8h je m’occupe de la maison et puis je reprends la préparation du salé pendant 3 heures. Avec les employés, on est bien organisé à la production. »

    • Savoir compter : C’est un métier où la gestion financière est la clef, où les relations avec la banque se doivent d’être claires et fluides, où le minotier accompagne pour les conseils avisés autour de la fixation des prix publics ou de l’organisation à l’atelier.
  • « On ne travaille pas pour la gloire, c’est qu’on en a envie. Ne pas avoir de salaire [les 2 premières années] ce n’est pas un problème. »

Les nuances sont là aussi en fonction de l’expérience du boulanger bien sûr :

  • Un jeune boulanger va bénéficier largement de la « bonne » communication de la ville où il s’installe et parfois la commune est un acteur majeur dans la promotion des jeunes professionnels qui s’y installent.
  • Pour positiver en cette période de crise énergétique, où les factures s’envolent et peuvent prendre 1500%, il est intéressant de « voir d’où l’on vient », déjà sur l’année écoulée et aussi sur le démarrage de la boutique ou celui de la carrière ! Les leçons sont constructives et permettent de rester positif !
  • Un nouvel installé aura plus besoin de l’écoute attentive de son minotier, pour simplement entendre ses difficultés, qu’elles soient d’ordre conjoncturel (l’énergie en ce début d’année) ou structurel (un problème avec un employé, le remboursement d’un prêt d’investissement pour un nouveau four par exemple) et ce, sans jugement, pour l’aider à y voir plus clair et simplement l’écouter.
  • Un boulanger qui a de l’expérience aura plutôt tendance à s’organiser en solitaire sur la communication, la PLV ou l’organisation d’animations ou le choix d’un jeu-concours pour un événement de saison. Par contre, les idées nouvelles, la veille spontanée que propose le minotier sont autant d’informations qui pourront être échangées pour mieux aborder l’avenir.Quatre témoignages, quatre découvertes, quatre tranches de vie. A chaque fois les coulisses et le ballet incessant des artisans dans l’atelier de production, le matériel pour pétrir, préparer,  peser, cuire, stocker. A chaque fois, sur la scène de la boutique, les présentoirs alléchants attirent le consommateur. Et quand le travail cesse un instant pour raconter leur métier, tout de suite s’expriment avec aisance des boulangers qui aiment leur métier et veulent transmettre, des vendeuses qui expliquent leur relation avec les clients et ce dont elles ont besoin pour mieux vendre encore. Une ambiance unique, les odeurs de levain et de bon pain. Un vrai plaisir !

Photos prises en tournée avec MINOTERIE PELLUAU sur des boulangeries de Sainte-Anne-sur-Brivet, Saint-Nazaire, Batz-sur-Mer et Le Croisic.

Ose Ton Futur pour l’égalité des chances, le 11 mars

La deuxième édition d’OSE TON FUTUR aura lieu le samedi 11 mars 2023, à l’IAE de Nantes, dans le bâtiment Erdre privatisé pour l’occasion.

De nombreux ateliers et une conférence plénière avec des rôles modèles permettront aux collégiens et lycéens d’être inspirés pour imaginer leur avenir, dans l’égalité des chances d’accès à la formation et aux carrières dont ils rêvent !

Un RV à ne pas manquer !

 

Du nouveau pour les CRM en 2023 ?

Le titre de l’article de Siècle Digital est alléchant : Quelles seront les évolutions du secteur du CRM au cours des quatre prochaines années ?

Mais on est en droit de se poser des questions quand on lit :

Les sociétés devraient être plus nombreuses à investir dans un CRM, qui leur permettra de mieux connaître leurs clients pour développer l’engagement de ceux-ci, ainsi qu’une relation forte.

Alors qu’en est-il ?

Rien de très neuf :

1 : l’engagement client qui se conforte : la méthode

2 : l’ère du big data et de l’analytics qui demande des outils

Donc, oui, merci pour ce rappel : revenons aux basiques. L’outil de gestion de la relation client restera une coquille vide si l’entreprise ne gère pas la relation avec ses clients (et cela c’est une méthode essentielle à mettre en œuvre !).

 

L’IA au service de l’Histoire

L’IA, quand elle est bien alimentée, peut « régurgiter » des informations étonnantes et puissantes. Au service de l’analyse et de la réflexion, elle est un puissant atout. Au service de l’histoire, elle peut permettre d’imaginer le contenu des zones d’ombre et de rendre lisible des éléments plus abscons. C’est le rôle des nouvelles technologies en particulier, qui permettent de poursuivre les recherches sur des pans de l’histoire qu’on croyait perdu à jamais !

Dans son article, Hérodote nous apprend que :

« l’intelligence artificielle ou « IA » vient de réaliser une nouvelle prouesse : donner à entendre l’appel du 18 juin 1940 tel que le Général de Gaulle aurait pu le prononcer. Aurait pu car aucun enregistrement de l’allocution n’est parvenue jusqu’à nous. La
technologie a permis de créer à partir du texte un discours qui
ressemble si bien à la fameuse voix qu’il devient difficile de
distinguer la réalité d’une « reconstitution ».

L’article permet de réfléchir : « Est-ce le début de l’Histoire augmentée, génératrice de « documents » aussi séduisants et plausibles que… fictifs ? »

A méditer !

une pépite française bien ambitieuse

UBISOFT : une pépite française dont l’origine est bretonne… est bien ambitieuse !

Un article de septembre 2022 de Siècle Digital reprend les propos de son fondateur, l’un des frères Guillemot qui  ont créé « Guillemot Corporation » dans le Morbihan, autre société exportatrice dans le multimedia.

Sur leur site web, on retrouve la saga familiale : « Bien qu’Ubisoft compte aujourd’hui 21 000 employés dans ses bureaux et studios à travers le monde, tout a commencé avec une famille : Yves Guillemot et ses quatre frères qui travaillaient dans l’agriculture en Bretagne »

Et puis le 11 janvier 2023, c’est la douche froide : l’éditeur a annoncé dans un communiqué qu’il baissait nettement ses perspectives pour l’exercice 2022-2023. Les ventes des 2 jeux phares lancés fin d’année sont « bien inférieures aux attentes ». Au lendemain de cette révélation, la valeur des actions de l’entreprise a chuté de 16,42 %. Le chiffre d’affaires perd 6 millions d’euros en 1 trimestre.

Yves Guillemot reste confiant, mais les investisseurs semblent moins l’être.

 

Satisfaction client ou comment aider le dirigeant à prendre de la hauteur sur sa situation

La transition digitale est au cœur des organisations et les dirigeants de petites entreprises, aux commandes et sans répit, sont les premiers à manquer de temps pour prendre un peu de hauteur par rapport à la situation.

Avec les diagnostics TransDigit d’Akto, c’est la possibilité de faire « pause », de se poser les bonnes questions et de prendre les bonnes décisions pour que le numérique devienne un atout pour la mise en œuvre de la stratégie de développement de l’entreprise.

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Les thématiques sont variées : le numérique comme un outil pour développer la visibilité, recruter, animer les équipes, développer le commerce, travailler la relation client ou améliorer les processus de production de l’offre de l’entreprise.

Les métiers des adhérents sont variés aussi : du CHR au secteur de l’emploi, en passant par la formation.

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Voici un petit florilège de témoignages d’adhérents d’Akto suite à un TransDigit sur l’année 2022 :

  • « C’est une bonne base pour aller en parler avec les autres entités du groupe et pour lancer le projet 2024 le mieux possible et avec méthode. « 
  • « Merci beaucoup pour ces échanges. C’était vraiment très instructif et ça m’a permis d’y voir plus clair et surtout d’entrevoir des solutions que nous avons peut-être déjà à notre disposition. »
  • « Merci pour l’expertise, très pro ! Très carré ! »

  • « La restitution correspond bien à ce qu’on avait échangé pendant le diagnostic. C’est cohérent par rapport à la situation. C’est bien résumé. »

Grâce au diagnostic TransDigit, c’est plus sereinement que la transition numérique peut être abordée avec des plans d’actions efficaces.